Claude Berri (1 July 1934 – 12 January 2009) was a French film director, writer, producer, actor and distributor.

Born Claude Beri Langmann in Paris, Berri was the son of Jewish immigrant parents. His mother, Beila (née Bercu), was from Romania, and his father, Hirsch Langmann, was a furrier from Poland. His sister was the screenwriter and editor Arlette Langmann.

Berri won the "Best Film" BAFTA for Jean de Florette, and was also nominated for twelve César Awards, though he never won. Berri also won the Oscar for Best Short Film for Le Poulet at the 38th Academy Awards in 1966, and produced Roman Polanski's Tess which was nominated for Best Picture in 1981.

Internationally, however, two films in 1986 overshadow all his other achievements. Jean de Florette and its sequel Manon des Sources were huge hits. In 1991, his film Uranus was entered into the 41st Berlin International Film Festival. Six years later, his film Lucie Aubrac was entered into the 47th Berlin International Film Festival.

In 2003, he was elected President of the Cinémathèque Française where he obtained enough state subsidies to cover the costs of its resurgence at its new site in the rue de Bercy.

Berri's wife, Anne-Marie Rassam, committed suicide in 1997, jumping from the apartment of Isabelle Adjani's mother. Berri and Rassam had two children: actor Julien Rassam and actor and film producer Thomas Langmann.

Berri died of a stroke, in Paris, aged 74. After his death, a group of nine works by Robert Ryman, Ad Reinhardt, Giorgio Morandi, Richard Serra and Lucio Fontana was promised to the Centre Pompidou in Paris in lieu of tax. But the heirs of the film director finally sold them through French art dealer Philippe Ségalot for about €50 million to Qatar.

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Claude Langmann, dit Claude Berri, né le 1er juillet 1934 à Paris et mort dans la même ville le 12 janvier 2009, est un réalisateur, scénariste, producteur et acteur français.

Surnommé «le dernier nabab» ou «le parrain» du cinéma français, il est considéré comme l'un des grands réalisateurs (Tchao Pantin, Jean de Florette et Manon des sources, Je vous aime) et producteurs de films (Tess, L'Ours, Astérix et Obélix: Mission Cléopâtre, Bienvenue chez les Ch'tis) du cinéma français. Il a également été président de la Cinémathèque française, de 2003 à 2007.

Claude Berri était aussi un amateur averti d'art moderne et contemporain, auquel il a consacré l'Espace Claude Berri, ouvert à Paris de 2008 à 2009.

Claude Beri Langmann est issu d'une famille juive ashkénaze. Il est le fils d'un fourreur polonais, Hirsch Langmann, et d'une ouvrière roumaine, Beila Bercu, installés au 8 passage du Désir, dans le 10e arrondissement de Paris. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est caché par Raymonde Letournel. Il exerce brièvement le métier paternel, tout en suivant des cours de théâtre où il se lie avec Gérard Lebovici.

Claude Beri abandonne son patronyme Langmann pour «Berri» quand il devient acteur: Beri est la traduction faite par l’état civil de son prénom roumain Berel.

Il joue pour la première fois au théâtre dans les Mardis du théâtre Caumartin, sous la direction de Jacques Pierre (devenu réalisateur de télévision) et Jacques Ruisseau. Il interprète «le fils», dans Tchin-Tchin, de et avec François Billetdoux, au théâtre de Poche de Paris. Dans cette pièce de théâtre, il se lie d'amitié avec la comédienne Katharina Renn, qui inspirera le nom pour sa société de production.

Il fonde et dirige également la société de production Films 7, qui rejoindra également le périmètre de Pathé en 2005. Elle compte nombre de classiques du cinéma français: Les Ripoux, Ripoux contre ripoux, Astérix et Obélix contre César…

Il tourne le court métrage de fiction Le Poulet qui lui vaut l'Oscar du meilleur court métrage en prises de vues réelles en 1966.

Il gagne ensuite le concours Naissance d'une Étoile devant Jacques Ruisseau, ce qui lui offre un rôle dans La Vérité de Henri-Georges Clouzot avec Brigitte Bardot, la jeune comédienne Marie Laforêt gagnant, pour sa part, le 1er prix de ce concours, et un rôle principal du Plein Soleil de René Clément. ...

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Director, productor, guionista y actor francés, a quien se debe buena parte de los éxitos del cine de este país de los últimos años. Su verdadero nombre era Claude Langmann, uno de esos fenómenos del cine capaces de ser valiosos en todas sus facetas y con fino olfato profesional. Una de sus primeras películas como director, El viejo y el niño (1967), autobiográfica, narraba las peripecias de un niño judío recogido por una familia antisemita durante la II Guerra Mundial, siendo aplaudida con entusiasmo por un joven François Truffaut, ya que la película le había producido un placer intenso. Sin embargo, no todos los críticos de su generación compartieron el mismo juicio. Siguieron otras películas de tintes autobiográficos, Mazel Tov o el matrimonio (1969), Le pistonné (1970), junto al cómico Coluche; Sex-Shop (1972) y Papá, ya no soy virgen (1976), que bastantes críticos consideraron frías y académicas. Claude Berri, como director, no fue siempre querido por la crítica francesa, a pesar de títulos tan notables como La venganza de Manon (1985), El manantial de las colinas (Jean de Florette, 1986) o Germinal (1993), consideradas como las más caras del cine francés, y a pesar también del enorme éxito de público que lograron y de los premios que obtuvieron. Sus trabajos fueron seleccionados numerosas veces para distintos galardones. En este sentido, su carrera no pudo comenzar mejor, obteniendo el Oscar al mejor cortometraje por Le poulet en 1962, su primer filme. Es cierto que sus películas como director miraban ante todo a la taquilla, mientras que como productor respetaba el trabajo ajeno, aunque, eso sí, con talante de hombre autoritario. El león del cine francés, como se le conocía, o el padrino, según otros, fue un cineasta completo, uno de esos insustituibles monstruos del cine, figura que en nuestros días va desapareciendo, cuando se reemplaza a los productores de verdad por simples financieros.